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"La bonne nouvelle" de F. Bégaudeau, mise en scène par Benoît Lambert

4 Novembre 2016, 15:47pm

Publié par Gilbert Edelin

La Bonne Nouvelle", pièce de François Bégaudeau mise en scène par Benoît Lambert est créée en novembre 2016 au Théâtre de Dijon-Bourgogne . Elle s'inscrit dans la lignée du feuilleton théâtral "Pour ou Contre un Monde Meilleur" inauguré par le Théâtre de la Tentative à la fin du siècle dernier dans lequel on a pu trouver certaines pièces de Jean-Charles Massera par exemple.
La pièce porte sur la classe dominante d'aujourd'hui, des élites qui se repentiraient de leur aliénation. "Le capitalisme actuel est à la pensée de Smith ce que le stalinisme est à la pensée de Marx. " dit Benoit Lambert, rien d'étonnant à ce que comme les communistes "dégrisés" de l'URSS, des dominants se repentent...
"La Bonne Nouvelle" raconte une libération par rapport à un carcan rationaliste qui ne laisserait pas de place aux affects, à l’humain. Une pièce bien dans la logique du retour en grâce de Spinoza et qui met en scène une rupture, une sortie de système. 
Benoit Lambert explique le fond dans cet excellent article sous forme d'interview qui mérite bien une lecture
Bien sûr une tournée est prévue.
La Bonne Nouvelle", pièce de François Bégaudeau mise en scène par Benoît Lambert sera créée en novembre 2016 au Théâtre de Dijon-Bourgogne . Elle s'inscrit dans la lignée du feuilleton théâtral "Pour ou Contre un Monde Meilleur" inauguré par le Théâtre de la Tentative à la fin du siècle dernier dans lequel on a pu trouver certaines pièces de Jean-Charles Massera par exemple.
La pièce porte sur la classe dominante d'aujourd'hui, des élites qui se repentiraient de leur aliénation. "Le capitalisme actuel est à la pensée de Smith ce que le stalinisme est à la pensée de Marx. " dit Benoit Lambert, rien d'étonnant à ce que comme les communistes "dégrisés" de l'URSS, des dominants se repentent...
"La Bonne Nouvelle" raconte une libération par rapport à un carcan rationaliste qui ne laisserait pas de place aux affects, à l’humain. Une pièce bien dans la logique du retour en grâce de Spinoza et qui met en scène une rupture, une sortie de système. 
Benoit Lambert explique le fond dans cet excellent article sous forme d'interview qui mérite bien une lecture: 
Bien sûr une tournée est prévue.

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